A mi-mandat, Olivier Bianchi décroche une à une les plus mauvaises notes des classements nationaux indépendants.

A titre d’exemple, Clermont-Ferrand a été classée en juillet dernier, ville dans sa catégorie la moins verte de France (31 sur 31 selon l’entreprise de cartographie Kermap) !

Mais ce n’est pas tout, selon un récent sondage réalisé auprès des piétons clermontois, une note de 8/20 a été attribuée à la ville par le baromètre « des villes et villages marchables ».

Un autre constat peu élogieux concerne les effectifs de policiers municipaux : parmi les 36 villes de plus de 100 000 habitants, Clermont-Ferrand se classe 35e.  Limoges, ville de taille comparable à la nôtre compte le double de fonctionnaires de police. Et la promesse faite par le candidat Bianchi en 2020 d’augmenter les effectifs de 30 agents durant le mandat n’est toujours pas en passe d’être tenue.

Le maire collectionne aussi les bonnets d’âne en matière de finances. L’Argus des communes établi par « Contribuables et associés » lui attribue la mention médiocre pour sa gestion et la note de 3,3/20 pour la santé financière de la commune. Cela fait suite au classement de « Capital » établi par « décomptes-publics » qui classait l’année dernière Clermont-Ferrand comme l’agglomération la moins bien gérée de France ! La moyenne du maire à mi-mandat est donc sans appel, c’est un zéro pointé ! Un bulletin de note qui mériterait l’exclusion définitive.

Groupe Avenir Républicain, présidé par Julien Bony, avec Jean-Pierre Brenas, Cécile Laporte, Catherine Pinet-Tallon, Christiane Jalicon, Géraldine Bastien

Tweetez
Partagez
Partagez